Ayoub BOUTERBAG (Allah y rahmo) était un jeune Stanois très apprécié, notamment des enfants. Sa générosité et son sens du service le caractérisaient avant tout !
Mais Ayoub nous a quitté trop tôt, laissant un immense vide dans la vie de ses proches. C'est pourquoi ses parents et ses amis ont décidé de poursuivre son action, en aidant les enfants les plus démunis et en offrant des moments de joie aux enfants hospitalisés.
Cette initiative, née autour d'une table avec le papa et les amis d'Ayoub (Allah y rahmo), s'est concrétisée en un projet qui a tout son sens :
Enfin, ce projet porte le nom d'Ayoub (Allah y rahmo), car pour son entourage, rien d'autre ne pourrait mieux le caractériser.
GRAND CŒUR D'AYOUB a pour mission d'aider les enfants pauvres en France en collectant des vêtements, des jouets et autres dons matériels pour les acheminer vers les structures qui prennent en charge ces enfants. L'association permet ainsi aux donateurs de donner un sens à leur générosité et de contribuer à la lutte contre la pauvreté infantile en France.
En plus d'aider les enfants pauvres, GRAND CŒUR D'AYOUB s'engage également à apporter du réconfort aux enfants hospitalisés en France en organisant des visites de jeunes aidants aux enfants malades, en collaboration avec les hôpitaux et avec des formations de sensibilisation. Ces visites permettent aux enfants malades de rompre leur isolement et de recevoir de l'attention et de la tendresse de la part de jeunes bienveillants.
GRAND CŒUR D'AYOUB est une association qui prône des valeurs de partage, de solidarité et de bienveillance. Elle offre une occasion unique aux jeunes amis d'Ayoub et à d'autres jeunes de donner du sens à leur vie en participant à une action de solidarité et de générosité qui contribue à améliorer la vie de nombreux enfants en difficulté en France.
Rejoignez GRAND CŒUR D'AYOUB et participez à une cause noble et essentielle pour aider les enfants pauvres et hospitalisés en France.
En France, la pauvreté infantile est un problème majeur qui touche environ 3 millions d'enfants, soit 21% de la population infantile en 2018. Cette situation a un impact considérable sur leur santé, leur éducation et leur développement.
Pourtant, des efforts ont été déployés pour lutter contre ce fléau, notamment par des programmes gouvernementaux, des associations et des initiatives citoyennes. Malgré cela, une estimation pour 2022 indique que 17% de la population française vivra sous le seuil de pauvreté monétaire, soit environ 11 millions de personnes. La pandémie de COVID-19 a exacerbé la pauvreté dans certaines régions, en particulier dans les quartiers populaires.
Il est donc crucial de continuer à sensibiliser le public à la pauvreté infantile et de mettre en place des mesures pour aider les familles les plus vulnérables. Les dons de produits alimentaires, d'hygiène et de jouets peuvent aider à améliorer le quotidien des enfants dans le besoin. Il est également important de soutenir les associations et les initiatives qui luttent contre la pauvreté infantile, en donnant de son temps ou en faisant un don financier.
En somme, la pauvreté infantile est un enjeu de société majeur qui nécessite une mobilisation collective pour y faire face. En contribuant chacun à notre niveau, nous pouvons aider à améliorer la vie des enfants qui en ont le plus besoin.
En 2021, il y avait 12,6 millions de patients hospitalisés, selon l'étude de l'Agence Technique de l'Information sur l'Hospitalisation. Bien que les chiffres de 2022 ne soient pas encore publiés, il est probable que la tendance reste la même.
Cette étude révèle également que les mineurs représentent 14% des patients hospitalisés, soit près de 1,8 million d'enfants. Des chiffres alarmants qui soulignent l'importance de soutenir les enfants malades et de leur apporter du réconfort pendant leur séjour à l'hôpital.
Heureusement, de nombreuses initiatives ont été mises en place pour aider les enfants hospitalisés. Les associations, les bénévoles et les professionnels de la santé travaillent ensemble pour offrir un environnement accueillant et rassurant aux jeunes patients. Les jeux, les activités artistiques et les visites de clowns sont autant d'outils pour améliorer leur bien-être et leur moral pendant leur hospitalisation.
Il est important de se mobiliser pour ces enfants qui ont besoin de notre soutien. Chacun peut contribuer à sa manière, en faisant un don, en offrant son temps ou simplement en offrant un sourire à un enfant malade. Nous devons tous agir ensemble pour améliorer le quotidien des enfants hospitalisés et leur donner les moyens de se rétablir dans les meilleures conditions possibles.
Notre organisation travaille dur pour aider les enfants les plus vulnérables de notre communauté. Si vous souhaitez faire un don pour les aider, c'est très simple ! Il vous suffit de cliquer sur le bouton "Faire un don" et de remplir le formulaire qui apparaît. Ce formulaire comprendra les champs suivants :
Nous sommes reconnaissants pour chaque don que nous recevons, et nous sommes déterminés à utiliser les fonds de manière responsable pour aider les enfants nécessiteux.
Si vous êtes une personne ayant besoin d'aide pour un enfant, nous sommes également là pour vous aider. Vous pouvez cliquer sur le bouton "Vous aider" et remplir le formulaire qui apparaît. Ce formulaire comprendra les champs suivants :
Nous sommes là pour aider, alors n'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de notre assistance ou si vous souhaitez contribuer à notre cause.
En 2018, le niveau de vie moyen des enfants de moins de 18 ans s'élève à 22 150 euros par an (soit 1 846 euros par mois), ce qui correspond à 89,9 % du niveau de vie moyen de l'ensemble de la population. Un enfant entraîne un coût financier alors qu'il ne contribue pas directement aux ressources du ménage : avant prestations et impôts directs, le niveau de vie des familles est donc inférieur à celui des ménages sans enfant. De plus, dans les familles nombreuses, les adultes ont en moyenne des revenus d'activité plus faibles. À la naissance d'un enfant, un des deux conjoints passe parfois à temps partiel ou arrête de travailler, que ce soit pour se consacrer plus à l'enfant, pour des raisons financières ou organisationnelles. Le cas échéant, cela diminue les revenus du ménage.
Bien que les transferts sociaux (prestations familiales, aides au logement et minima sociaux) et fiscaux (quotient familial de l'impôt sur le revenu) atténuent sensiblement les différences de revenus entre ménages sans et avec enfants, ces derniers sont plus exposés à la pauvreté. En 2018, 21,0 % des enfants de moins de 18 ans sont pauvres, contre 14,8 % de la population globale. 2,9 millions d'enfants vivent dans des ménages dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté.